“[…] Car la guerre était déjà autour de moi, et tous, cette nuit d’août il y a plus d’un an, durant laquelle je cherchais, sous ma lampe, le sens anagrammatique des “nom et prénom” de Stéphane Mallarmé. Cette guerre dont tout le monde parle, sans en trouver la solution, et dont je ne peux pas dire plus que ce que j’ai exprimé dans ces quatrains et – peut-être plus encore – dans les sonnets qui les pénètrent. […]”
Paris, septembre 1992.